« Bordeaux-Sud est un territoire en pleine transformation, avec une pression démographique très forte », a rappelé Mathieu Mangin, conseiller municipal et départemental du secteur.
Dans ce contexte, la résidence répond à un objectif clair : produire du logement social au plus près de Bordeaux, sans renoncer à la qualité. Implantée en cœur d’îlot, elle s’insère entre habitat pavillonnaire et immeubles collectifs, assurant une transition urbaine douce. L’architecture, mêlant béton désactivé ocre et bois, privilégie la sobriété et la durabilité. Les logements sont majoritairement traversants ou double-orientés, tous dotés de balcons, et complétés par un jardin partagé et des espaces végétalisés.
Une exigence assumée, comme l’a souligné Annick Izier, directrice générale d’ICF Habitat Atlantique :
Certifiée NF Habitat HQE 6 étoiles et conforme à la RT 2012 –10 %, l’opération va au-delà des standards réglementaires. Un point salué par l’élu :
Livrée et occupée depuis décembre 2024, la résidence représente un investissement de 8,7 millions d’euros, financé par l’État, la Ville de Bordeaux, Bordeaux Métropole, le Département de la Gironde, Action Logement, la SNCF et la Caisse des Dépôts, avec 1,7 million d’euros de fonds propres apportés par ICF Habitat Atlantique.
Pour Annick Izier, la réussite du projet repose aussi sur l’engagement humain :
Président d’ICF Habitat Atlantique et secrétaire général – directeur du réseau territorial de SNCF Immobilier, Gilles Mergy a replacé l’opération dans une stratégie foncière plus large :
Un travail partenarial salué par les collectivités, qui y voient un projet cohérent avec les politiques métropolitaines et départementales :

