Trans’Actif Immobilier remporte un important marché de vente de logements intermédiaires à la découpe

La filiale de conseil et de transaction immobilière du groupe ICF Habitat a été sélectionnée par In’li, filiale d’Action Logement, pour conduire une vaste opération de vente de logements intermédiaires à la découpe. L’obtention d’un lot de ce marché majeur vient renforcer la forte dynamique de développement dans laquelle s’inscrit Trans’Actif Immobilier, qui fête par ailleurs ses 10 ans cette année. 

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Attributaire du marché In’li de vente de logements intermédiaires 

Trans’Actif Immobilier est l’un des quatre ensembliers retenus par In’li, la filiale de logement intermédiaire du Groupe Action Logement, pour piloter et commercialiser à la découpe un ensemble de 6 000 à 8 000 logements.
La mission s’étalera sur 4 ans et représente 1 500 à 2 000 lots à commercialiser par ensemblier. Elle constitue l’une des plus importantes opérations de vente à la découpe en volume de ces dernières années. 
Sélectionné pour la pluralité de ses expertises, aux côtés des majors du secteur, Trans’Actif Immobilier renforce ainsi son positionnement d’acteur clé de la commercialisation opérationnelle sur le marché de la vente de logements intermédiaires.  

« Nous sommes très fiers d’avoir été choisis par In’li pour cette opération qui marque clairement une étape dans le développement de Trans’Actif Immobilier. Elle confirme notre capacité à répondre à des marchés d’envergure et nous permet d’accélérer notre développement dans la vente de logements intermédiaires. » Cyril Gonzalez-Rocher, dirigeant de Trans’Actif Immobilier

Le digital pour performer  

Levier pour reconstituer des fonds propres, la vente est un outil clé dans la stratégie patrimoniale des acteurs du logement social ou privé. Créée en 2010 pour répondre aux besoins de vente de logements sociaux du groupe ICF Habitat, la filiale Trans’Actif Immobilier s’est progressivement développée pour conseiller et accompagner des acteurs institutionnels aux besoins diversifiés. L’entreprise propose un éventail de solutions (vente par lot, valorisation des fonciers, vente en bloc d’immeuble…) et se distingue par son approche mêlant analyse de la data et opérationnel (visite par un agent) dans l’expertise des biens. En 2019, Trans’Actif Immobilier a ainsi réalisé 190 millions d’euros de produits de cession pour le compte de ses clients. 

Avec un service étude et valorisation de plus en plus sollicité, Trans’Actif Immobilier explore de nouvelles approches pour accompagner ses clients dans leur stratégie de cession patrimoniale, et ce notamment dans le secteur Hlm, fortement impacté par les évolutions réglementaires induites par la loi ELAN.

C’est notamment dans cette optique que Trans’Actif Immobilier co-élabore, avec le cabinet de conseil lyonnais Cellance, un outil visant à digitaliser l’ensemble de la chaîne de vente. Destiné à des bailleurs sociaux et des foncières de logements intermédiaires et à loyers libres, cet outil digitalisera et intègrera la dimension globale de la vente, tout en en stockant la data et l’histoire des immeubles. Totalement compatible technologiquement, il sera une passerelle avec les logiciels de gestion des institutionnels et permettra ainsi de fiabiliser et d’automatiser les transferts de données. Mandants, acquéreurs et partenaires pourront s’y connecter et, ainsi, gérer tous les maillons de la vente, que cela soit sous la législation des bailleurs sociaux, privés ou intermédiaires. 

COVID 19 : quels effets sur le marché ? 
Depuis la mi-mars et le début de la crise sanitaire, Trans’Actif Immobilier a observé le marché : globalement, la vente de nombreux logements privés s’est poursuivie, y compris pendant le confinement, et hors ventes en bloc.  
Une étude réalisée par Trans’Actif Immobilier, auprès de 3000 locataires occupants, contactés entre mi-mars et mi-avril, a permis d’observer que les prospects montrent un réel intérêt à leur projet d’acquisition et qu’ils ne souhaitent pas le reporter ; ils ont été enclins à évoquer leur situation de manière plus libre, avec un temps d’échanges plus important. 
« Le marché résidentiel risque d’être peu impacté dans un temps court, comparé à celui des bureaux et des commerces. L’intérêt reste vif. Parce que notre métier doit conjuguer ambition et humilité, nous avons été chercher les réponses à nos questions en interrogeant une base très large de prospects : 92% confirment leur intérêt pour l’acquisition et souhaitent faire des visites rapidement. Nous imaginons tout à fait des ajustements de prix mais ils ne seront pas immédiats. L’activité risque d’être très soutenue d’ici à la fin de l’été : nous serons alors au rendez-vous pour encore mieux accompagner les ménages dont les projets ne sont pas retardés ou annulés », souligne Cyril Gonzalez-Rocher